Technologies de l’hydrogène : le MEPM sensibilise les acteurs
Dans le cadre de la stratégie nationale de transition énergétique et de la valorisation des énergies renouvelables, le Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines, en partenariat avec le Programme Energies Durables (PED) de la GIZ, tient, du lundi 24 au mercredi 26 novembre 2025, un atelier de sensibilisation de haut niveau sur les technologies de l’hydrogène et leur potentiel pour le Sénégal.
Cet atelier, présidé par le Directeur du développement des énergies renouvelables, El Hadj NDIAYE, intervient dans un contexte où le Sénégal affiche une volonté politique forte en matière de transition énergétique.
Sur ce, le Directeur du développement des énergies renouvelables a, lors de sa communication, soutenu que le Sénégal s’est résolument engagé sur la voie d’un avenir énergétique durable et a, en juin 2023, conclu un Partenariat pour une Transition Énergétique Juste (JETP) avec un groupe de partenaires internationaux (l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Union européenne et le Canada).
Dans le cadre de cet accord historique, Monsieur El Hadji NDIAYE a souligné que le Sénégal s’est fixé un objectif ambitieux en vue de porter la part des énergies renouvelables à 40 % de notre mix électrique d’ici 2030.
Selon lui, cet engagement, soutenu par une mobilisation annoncée de 2,5 milliards d’euros sur les prochaines années, traduit la détermination du Sénégal à accélérer l’adoption des énergies propres tout en garantissant une transition juste pour nos populations.
A en croire certains experts participants aux travaux, la dynamique internationale est sans équivoque : « prés de 60 pays ont déjà adopté des stratégies nationales dédiées » et le nombre de projets est passé d’environ 200 en 2021 à « plus de 1500 projets aujourd’hui à travers le globe ». Avec des investissements annoncés de l’ordre de 680 milliards de dollars d’ici 2030, la demande mondiale d’hydrogène propre devrait être quintuplée d’ici 2050.
« Ces tendances mondiales sont claires : l’hydrogène jouera un rôle central dans le mix énergétique du futur » a affirmé M. NDIAYE, soulignant l’importance pour le Sénégal de se préparer dés aujourd’hui à cette nouvelle économie verte.
Pour rappel, les besoins nationaux d'hydrogène sont actuellement assez faibles au Sénégal, mais avec une nouvelle source de production, de nouvelles filières pourraient être créées comme la production d'ammoniaque et d'engrais agricoles.
Cet atelier, présidé par le Directeur du développement des énergies renouvelables, El Hadj NDIAYE, intervient dans un contexte où le Sénégal affiche une volonté politique forte en matière de transition énergétique.
Sur ce, le Directeur du développement des énergies renouvelables a, lors de sa communication, soutenu que le Sénégal s’est résolument engagé sur la voie d’un avenir énergétique durable et a, en juin 2023, conclu un Partenariat pour une Transition Énergétique Juste (JETP) avec un groupe de partenaires internationaux (l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Union européenne et le Canada).
Dans le cadre de cet accord historique, Monsieur El Hadji NDIAYE a souligné que le Sénégal s’est fixé un objectif ambitieux en vue de porter la part des énergies renouvelables à 40 % de notre mix électrique d’ici 2030.
Selon lui, cet engagement, soutenu par une mobilisation annoncée de 2,5 milliards d’euros sur les prochaines années, traduit la détermination du Sénégal à accélérer l’adoption des énergies propres tout en garantissant une transition juste pour nos populations.
A en croire certains experts participants aux travaux, la dynamique internationale est sans équivoque : « prés de 60 pays ont déjà adopté des stratégies nationales dédiées » et le nombre de projets est passé d’environ 200 en 2021 à « plus de 1500 projets aujourd’hui à travers le globe ». Avec des investissements annoncés de l’ordre de 680 milliards de dollars d’ici 2030, la demande mondiale d’hydrogène propre devrait être quintuplée d’ici 2050.
« Ces tendances mondiales sont claires : l’hydrogène jouera un rôle central dans le mix énergétique du futur » a affirmé M. NDIAYE, soulignant l’importance pour le Sénégal de se préparer dés aujourd’hui à cette nouvelle économie verte.
Pour rappel, les besoins nationaux d'hydrogène sont actuellement assez faibles au Sénégal, mais avec une nouvelle source de production, de nouvelles filières pourraient être créées comme la production d'ammoniaque et d'engrais agricoles.

